Alain Marquina

Toscane Valdera : La cascade de Ghiaccione

Voilà les premières photos de ma résidence artistique en Italie à l’initiative du Festival International Sete Sois Sete Luas et de l’Office de Tourisme de la Toscane Valdera

A regarder sur grand écran pour l’immersion ! Cliquez sur la photo pour démarrer la visite !

Cascade-centre-360°

Sauver la planète : état d’urgence !

Sauver la planète : état d’urgence !

Cela fait plus de 20 ans que je photographie les vignobles, en Languedoc, dans le Bordelais, en Champagne …

Une de mes techniques de prédilection est la macrophotographie, ce qui me permet de voir et de montrer ce que l’on ne peut pas voir à l’œil nu.

Et avec le temps, j’ai vu, en très gros plan, l’environnement se dégrader, lentement mais…sûrement !

Les photographes sont parmi les premiers lanceurs d’alerte. Normal, c’est notre métier de montrer, de « donner à voir »

L’anthropocène, la dernière époque  géologique avant le chaos final

En avril 2019, 150 savants et scientifiques de plus de 130 pays, après plus de 3 années d’études, de recherches, de consultation de plus de 1500 documents, analyses, mesures scientifiques,  ont publié un rapport terrifiant et un cri d’alarme angoissant : la planète « Terre » est en train de vivre, en accéléré comme jamais depuis les 4 milliards d’années d’évolution qui ont forgé la vie sur terre, la 6ème extinction de masse !

Qu’est-ce que ça veut dire ?

La précédente extinction de masse, la cinquième, a été celle des Dinosaures, vraisemblablement des suites d’une collision avec la planète d’une météorite de plus de 10 km de diamètre qui s’écrasa sur Terre formant le cratère de Chicxulub, il y a environ 65 millions d’années, près de la péninsule du Yucatán, au Mexique.

Depuis, l’espèce humaine est devenue la principale force géologique, modifiant le climat, la biosphère, l’hydrosphère, la lithosphère…les activités humaines bouleversent tout et engendrent des modifications et des dégâts irréversibles mettant en péril la planète et l’espèce humaine elle même !

La déforestation, l’agriculture intensive, la surpêche, les industries, la chimie, les pesticides, les perturbateurs endocriniens, les transports, la pollution, l’extraction des ressources fossiles, le réchauffement climatique, le nucléaire et ses déchets…le gaspillage, l’obsolescence programmée et… la sacro-sainte croissance !!!

Et surtout, une perte de biodiversité jamais atteinte au cours des âges géologiques !

Le rapport du WWF est sans appel : on a perdu en seulement 40 ans 60% du vivant sur notre planète !!!

Les insectes se sont raréfiés les premiers.

J’étais, il y a 15 ans, souvent gêné par leur présence tant ils étaient nombreux devant mon objectif, notamment les coccinelles dévoreuses de pucerons (dans les vignobles bio ou à l’abandon, car dans le royaume de la viticulture chimique ça ressemblait plutôt au passage d’Attila).

Les papillons de mon enfance se sont mis à déserter la nature. Les éphippigères des vignes et les magiciennes dentelées (en voie d’extinction et grande prédatrice de nuisibles pour les cultures) ont changé de planète ! Les oiseaux se sont tus avant de s’envoler pour un voyage sans retour…Cela s’est fait lentement, sans bruit, en cachette, comme pour ne pas déranger les supers prédateurs que nous sommes dans notre labeur destructeur.

On répète sans fin des actes illusoires pour rassurer les peuples : recouvrir les grands glaciers avec des bâches pour leur éviter de fondre lamentablement, construire des dunes artificielles pour faire semblant de lutter contre la mer en furie qui grignote sans coup férir le trait de cote !

Nombre de mes confrères photographes, et non des moindres, faisaient le même triste constat. Paul Palau ne pouvait plus immortaliser sa Montagne Noire ou ses Corbières sans cette chape maronnasse engluant l’horizon, Yann Arthus Bertrand en faisait des cauchemars à répétition et décidait de prendre les armes...

La 6ème extinction de masse, ça veut tout simplement dire qu’inéluctablement cette espèce invasive irrespectueuse et cause de ce désastre annoncé, l’être humain, va y passer ! Toutes les conditions sont réunies !

Coronavirus Covid 19 et confinement : l’espoir !

Début 2020, une pandémie venue de Chine va frapper 188 pays sur 198, touchant plus de 10 millions de personnes et en tuant plus de 500 000 à ce jour (juillet 2020)

Pour limiter la propagation du virus, on demande à la population de rester confiné, de ne plus sortir de chez soi.

Pendant cette période, je photographiai dans les vignes tous les jours, et 6 semaines plus tard…miracle : une frénésie de reproduction s’empare des insectes, la vie semble reprendre dans les vignes, je n’avais jamais vu ça en 20 ans de photographie dans les vignobles !

Dans mon jardin (et mes voisins font le même constat), plusieurs nids sont apparus (mésanges, chardonnerets, rouge-gorges), alors qu’auparavant seul un couple de tourterelles nidifiait.

Depuis début juin, on peut voir de nombreux jeunes gabians près des plages et des étangs, bien plus que les années précédentes !

Les carabes dorés et les hannetons de mon enfance ne sont en revanche pas revenus, bientôt définitivement terrassés…

Misanthropocène : l’évidence !

Le confinement et l’arrêt subit de la plupart des activités humaines ont montré à l’évidence, dans les villes notamment, que l’on pouvait encore sauver la vie sur notre planète, mais en agissant réellement au plus vite, en rejetant l’anthropocène, cette époque géologique maudite (le préfixe mis, du grec µisos signifiant rejet, haine).

Ce ne sont pas les adultes d’aujourd’hui qui le feront, trop occupés à rétablir l’économie et la sacro-sainte croissance qui épuise les ressources terrestres et détruit le vivant.

Dès la fin du confinement, on a vu l’immense majorité de la population se ruer sur les boutiques ré-ouvertes pour consommer, consommer et consommer encore…

Cet espoir est désormais dans les mains de nos enfants et petits-enfants…s’il n’est pas déjà trop tard, comme de nombreux scientifiques le certifie hélas…

Pourquoi cette exposition Planète vigne ?

J’aurais pu choisir de céder à la mode de l’art du laid. Montrer l’horreur, témoigner des actions désastreuses de l’être humain contre la planète Terre.

Mais à longueur de journée les médias ne cessent de nous abreuver de ces horreurs…ça fait peur, donc ça fait vendre !

J’ai préféré l’art du beau et provoquer des émotions positives plutôt que négatives.

Cette exposition est donc destinée à montrer, de près et de loin, l’immense beauté créatrice de la Nature, pour émouvoir positivement les enfants et leur donner  une raison de se battre pour préserver l’essentiel, et montrer aux générations futures que l’homme est capable du pire mais aussi du meilleur !

J’aimerais avoir raison !

Je serai vraiment catastrophé que mes petits enfants soient obligés de survivre sur une planète en noir et blanc !

Rendez-vous dans 10 ans…

Planète Muscat de Frontignan. Domaine Peyronnet

Le caveau du Domaine Peyronnet. Cave Favier-Bel.

Cette planète Vigne, avec le caveau à nul autre pareil du Domaine Peyronnet, est le second maillon d’une future exposition destinée à la  protection de notre planète.

Ce n’est donc pas par hasard que cette photographie ait été réalisée en panoramique sphérique sur 360° en projection stéréographique (nom savant de l’effet « petite planète »).

Comment faire cet effet planète ?

On commence par faire un panoramique sur 360°, par tranches successives, en photographiant ensuite le plafond (le zénith), et le sol (le nadir)

On assemble le tout à l’aide d’un logiciel spécialisé (il en existe plusieurs, plus ou moins performants, mais nécessitant des corrections manuelles…l’AI n’est pas aussi performante que l’homme !)

On obtient tout d’abord un panoramique en projection recti-linéaire, comme ceci :

Domaine Peyronnet

 

Puis on modifie cette projection en projection stéréographique : l’effet planète apparait.

Le caveau du Domaine Peyronnet

Quel est la finalité de cet effet planète ?

Sauver la planète : état d’urgence !

Cela fait plus de 20 ans que je photographie les vignobles, en Languedoc, dans le Bordelais, en Champagne …

Une de mes techniques de prédilection est la macrophotographie, ce qui me permet de voir et de montrer ce que l’on ne peut pas voir à l’œil nu.

Et avec le temps, j’ai vu, en très gros plan, l’environnement se dégrader, lentement mais…sûrement !

Les photographes sont parmi les premiers lanceurs d’alerte. Normal, c’est notre métier de montrer, de « donner à voir »

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Planète vigne. Une exposition placée sous le signe de l’écologie.

 Le vignoble du cep d’or en Méditerranée.

Cette planète Vigne, avec le Cep d’Or en vedette accompagné par Michel et Alain Campos, est le premier maillon d’une future exposition destinée à la  protection de notre planète.

Ce n’est donc pas par hasard que cette photographie ait été réalisée en panoramique sphérique sur 360° en projection stéréographique (nom savant de l’effet « petite planète »).

Comment faire cet effet planète ?

On commence par faire un panoramique sur 360°, par tranches successives, en photographiant ensuite le ciel (le zénith), et le sol (le nadir)

On assemble le tout à l’aide d’un logiciel spécialisé (il en existe plusieurs, plus ou moins performants, mais nécessitant des corrections manuelles…l’AI n’est pas aussi performante que l’homme !)

On obtient tout d’abord un panoramique en projection recti-linéaire, comme ceci :

campos-cep-or

 

Puis on modifie cette projection en projection stéréographique : l’effet planète apparait.

Planète vigne, raisins et vignerons pendant les vendanges. Photo © Alain Marquina

Planète vigne et portraits vignerons

Quel est la finalité de cet effet planète ?

Sauver la planète : état d’urgence !

Cela fait plus de 20 ans que je photographie les vignobles, en Languedoc, dans le Bordelais, en Champagne …

Une de mes techniques de prédilection est la macrophotographie, ce qui me permet de voir et de montrer ce que l’on ne peut pas voir à l’œil nu.

Et avec le temps, j’ai vu, en très gros plan, l’environnement se dégrader, lentement mais…sûrement !

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Perché sur un rocher de la crique de la Nau, un goéland argenté sur fond de méditerranée. Photo © Alain Marquina

Les goélands de Méditerranée

Goéland ou mouette ?

L’oiseau que vous voyez ici est un goéland argenté.

Pour reconnaître un goéland d’une mouette…c’est très facile !

Le bec du goéland est jaune, avec une tâche rouge vif, le bec de la mouette est entièrement rouge sombre.

Le goéland jeune est de couleur marron, sombre.

Cette photo a été prise sur les rochers de la crique de la Nau, à Sète.

Cet oiseau est très présent à Frontignan plage, notamment sur la plage des Aresquiers.

Au printemps, c’est la période de reproduction, nidification notamment dans les zones humides des étangs, derrière la plage des Aresquiers.

Ne pas les observer à cette époque, pour ne pas les déranger !

 

Cette photographie d’Alain Marquina vous est offerte par la Résidence Les 2 Rives à Frontignan-Plage. Elle est réservée aux destinataires inscrits de la newsletter des 2 Rives.

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Perché sur un rocher, face à la mer, un goéland argenté. Photo © Alain Marquina

Goéland argenté, crique de la Nau, à Sète

Photographies d’art certifiées

Si vous désirez offrir ou vous offrir un tirage sur papier d’art d’une photographie d’ Alain Marquina, vous pouvez contacter la Galerie Roy Sfeir à Paris, 6, rue de Seine, tél : +33 (0) 1 43 26 08 96

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Un des plus beaux vignoble du Muscat de Frontignan

Le Mas de Rimbault

Niché au creux du Massif de la Gardiole, au fond de la combe naturelle dite de Rimbault, ce vignoble de 25 hectares est l’un des plus beaux du terroir du Muscat de Frontignan.
Il est situé sur la partie le plus au nord de l’appellation, protégé des entrées maritimes.
Un petit sentier, dont le départ se trouve à gauche de l’entrée du Domaine, serpente dans la Gardiole et vous offre des panoramas époustouflants, notamment sur Frontignan Plage, le cordon littoral, les étangs, la mer…
Au mois de mai, quand les genêts sont en fleurs, le spectacle est total !
Prévoir de bonnes chaussures, la piste est très caillouteuse…
Arrivé tout en haut, vous pouvez faire le tour du Domaine par les crêtes.

Vinifié par la cave coopérative de Frontignan, ce vignoble d’exception produit « un remarquable muscat mêlant au nez fleurs blanches, agrumes et pêche abricot, frais à l’attaque, onctueux et miellé, à la plaisante finale sur l’abricot sec. » (Guide Hachette des vins)

A déguster avec modération !

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Le plus beau vignoble de Frontignan, le Mzs de Rimbault. Photo © Alain Marquina

Niché au creux de la Gardiole, le plus beau vignoble de Frontignan

Photographies d’art certifiées

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Une plage de rêve en Languedoc sur le bord de l'étang de Vic. Photo © Alain Marquina

Plage de rêve sur l’étang de Vic

Une plage de rêve à Vic la Gardiole

L’étang de Vic est dans le prolongement de l’étang d’Ingril, séparé de la mer Méditerranée par un mince cordon littoral.

La visite et la promenade de ce lieux magique vaut le détour !

C’est un espace protégé, classé Natura 2000.

Des oiseaux de nombreuses espèces nidifient aux alentours.

Il y règne un calme et une atmosphère à nulle autre pareille…

Et baigné d’une intense lumière douce rehaussant les couleurs…

Et des plages magnifiques qui pourraient nous laisser croire que nous sommes sous les tropiques !

C’est un étang très poissonneux, qui est une sorte de nurserie pour toutes les espèces Méditerranéennes.

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Une plage de rêve sur le bord de l'étang de Vic. Photo © Alain Marquina

Sur le bord de l’étang de Vic, Photo © Alain Marquina

Photographies d’art certifiées

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Le cordon littoral à Frontignan Plage. Photo © Alain Marquina

Frontignan Plage : petit matin d’hiver sur l’étang d’Ingril

Oenotourisme : le cordon littoral du Languedoc

L’oenotourisme ne consiste pas uniquement à visiter des vignobles, des Domaines viticoles, des chais et des caves et à déguster des vins.

Partir à la rencontre des vignerons est tout aussi essentiel, et découvrir les charmes des terroirs et des paysages environnants, au-delà de leur beauté intrinsèque, en dit souvent très long sur l’influence de la nature environnante sur la qualité des vins et des arômes.

Frontignan Plage est bâtie sur le cordon littoral, cette mince bande de terre et de sable qui sépare la mer Méditerranée des étangs.

Cette photographie a été capturée dans un petit matin d’hiver, le trépied photo au milieu de l’étang d’Ingril.

Au premier plan l’étang, en arrière plan Frontignan Plage et le bois des Aresquiers.

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L'étang d'Ingril et Frontignan Plage photographié par Alain Marquina

Petit matin d’hiver sur l’étang d’ Ingril. Photo © Alain Marquina

 

Photographies d’art certifiées

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Don Quichotte et Sancho Panza : offrande à Jésus. Photo © Alain Marquina

De l’effet du vin de messe sur Don Quichotte, Sancho Panza, Rossinante et Rucio

Vernissage de l’exposition « Sancho el Quijote & Quijote el Sancho »

C’est le 30 mars prochain qu’aura lieu le vernissage ce cette exposition Musée Municipal de Alcazar de San Juan (Castilla-La Mancha, Espagne).

Alcazar de San Juan est une ville ‘cervantine’ par excellence, où l’on pense que Miguel de Cervantes est né.

Cette exposition internationale itinérante intitulée «Sancho el Quijote & Quijote el Sancho» est produite par le Festival Sete Sóis Sete Luas et rassemble les œuvres de plus de 50 artistes internationaux ayant déjà participé aux activités des Centrum Sete Sóis Sete Luas.

Alain Marquina a réalisé pour cette exposition l’oeuvre que vous voyez ci-dessus.

Elle sera présentée dans plus de 30 villes qui réalisent les Festival Sete Sóis Sete Luas (Brésil, Cap Vert, Croatie, France, Slovénie, Espagne, Italie, Maroc, Portugal, Tunisie…).

Les œuvres présentées sont inspirées des thèmes universels de Don Quijote de la Mancha y Sancho Panza: la folie idéaliste, l’utopie, ses aventures errantes, les paysages de Cervantes et tout ce qui peut être relié au célèbre roman de Miguel de Cervantes.

 

Une création photographique originale à Frontignan, par Alain Marquina

L’oeuvre que vous voyez ici, en avant-première, et qui fait partie de cette exposition, a été réalisée par le photographe Alain Marquina, à Frontignan lors du passage dans la région de Don Quichotte et Sancho Panza.

Lors d’une halte pour se rafraîchir un peu dans l’église de Frontignan, le célèbre chevalier repéra, gisante, oubliée au pied de l’autel, une bouteille de vin fin, millésimé, béni, Divin, certainement tombée de la soutane d’un abbé sortant de la messe ivre-mort*…il la recueilli sans remord pour se désaltérer, tout en offrant une partie de son contenu à son fidèle compagnon et à leurs montures…

Et voilà le résultat !

Tandis que les deux hommes étaient occupés à faire une sieste bien méritée dans la charpente de l’édifice, que Rucio les surveillait sur le dos, Rossinante en profitait pour tenter de faire une offrande à Jésus.

C’est cet instant que choisit le photographe pour immortaliser la Cène…euh!, pardon…la scène !

Un panoramique transcendé par la foi dans un  église du XII ème siècle

N’oublions pas :  » Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement en Dieu. Tout par lui a été fait, et sans lui n’a été fait rien de ce qui existe. En la Parole était la vie, et la vie était la lumière des hommes… »

A l’origine donc de cette création, un simple travail sur la lumière, un panoramique humain, certes sur 360° sphérique et en HDR, mais rien qu’humain tout de même. On peut le voir ci-dessous :

Panoramique en 360° de l'église de Frontignan. Photo Alain Marquina

Panoramique en 360° de l’église de Frontignan. Alain Marquina

Et puis le partage du vin de messe, du sang du Christ, par le chevalier au grand cœur, à l’attention du photographe présent par le plus grand des hasards, a fait le reste :

 

Une projection stéréographique de l'église de Frontignan. Photo Alain Marquina

Une projection stéréographique de l’église de Frontignan. Photo Alain Marquina

 

Et dire que certains hommes continuent à ne pas croire aux miracles !

Merci à Marco ABBONDANZA, Président de Sete Sóis Sete Luas, de permettre à la Culture de rayonner dans le monde de si belle manière !

Et merci à toutes les villes de ce réseau !

 

In memoriam

Cette oeuvre photographique est dédiée à Daniel GALLARDO, qui a donné beaucoup de son temps pour en permettre la réalisation.

Et je n’ai pas eu le temps de la lui montrer avant  qu’il n’ait décidé, dans sa 76 ème année,  de nous rappeler que nous étions tous mortels.

Alain Marquina

 * Merci à Georges BRASSENS !

L'étang d'Ingril au coucher du soleil. Couleurs flamboyantes de Méditerranée. Photo © Alaion Marquina

Coucher de soleil sur l’étang d’Ingril

Couleurs magiques des étangs

Entre Sète et Montpellier, et spécialement sur Frontignan, la lumière naturelle a quelque chose de surnaturelle et magique.

Les étangs, comme ici l’étang d’Ingril, nous offrent des émotions à nulle autre pareille !

Les couleurs sont magnifiées, et la palette tellement vaste, que c’est un bonheur de les photographier.

Pour le photographe coloriste et « Nature » que je suis, c’est un plaisir de chaque instant !

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Couché de soleil sur l'étang d'Ingril en Méditerranée. Photo © Alain Marquina

Coucher de soleil sur l’étang d’ Ingril à Frontigan-Plage

Et ce qui est assez fabuleux, c’est que le même paysage, photographié au même endroit, chaque jour de l’année est à chaque fois baigné d’une lumière et de couleurs différentes.

Regardez le même paysage photographié  à quelques minutes d’intervalle ! Edifiant !

Panoramique sur coucher de soleil, étang d' Ingril. Photo © Alain Marquina